Non au burn out ? Oui à la sophrologie !
Savoir gérer le stress, être en capacité de déconnecter, se décontracter, se détendre, préserver son sommeil, gérer ses émotions : voilà un résumé substantiel ce que la sophrologie peut vous apporter pour dire non au burn out. Explications.
Oui, à un moment donné, le corps dit stop. Oui, cela finit par arriver. Le « Burn out » décrit l’épuisement total de la personne, tant sur le plan physique que mental, émotionnel. On peut lui trouver une origine professionnelle et/ou familiale. Il est souvent difficile à cerner, parce qu’il s’exprime de façon différente selon les personnes. Pourtant le malaise est là. Le corps le crie, la tête le hurle.
Détecter les signes du burn-out avec la sophrologie
Le stress fait partie de notre quotidien. La vie impose un rythme intense, mille choses à penser, à prévoir, à anticiper, à organiser. S’y ajoute la connexion plus ou moins non stop aux mails et autres réseaux sociaux.
Pour y faire face, le corps est doté d’une immense capacité d’adaptation. Toute une chaine physiologique s’organise : muscles en alerte, respiration rapide, avec un coeur au taquet, en guise de chef d’orchestre, etc. Seulement, quand le stress devient un hyper-stress, fort et surtout permanent, les choses se compliquent.
Si le corps est prévu pour être soumis à ces fortes mobilisations, il a aussi besoin de phases de récupération.
Et il a aussi sa limite. Le burn out arrive, lorsque la tension est extrême et constante durant des mois, voire des années. Arrive ce moment où le corps dit stop. Très concrètement, cela peut se caractériser par une chute, un malaise ou, un beau matin, l’impossibilité de se lever de son lit. Quand cela survient, se remettre en route prend des mois, voire des années.
Pour éviter le burn-out, écoute ton corps avec la sophrologie
Pour la plupart des « candidats » au burn out, le travail ou la vie de famille est la valeur essentielle. C’est là que s’exprime le talent, la personnalité, voire l’identité. Etre parent et/ou être professionnel, c’est dire tout, ou presque de soi. Naturellement, la notion de reconnaissance y est liée. Motivation, passion, implication constituent des leitmotiv. C’est pourquoi, on a tant de mal à décrocher, quand, pourtant, cela devient essentiel. « J’aime mon travail, et j’aime le travail bien fait. Au fil du temps, j’ai eu de plus en plus de projets à monter, je ne m’en sortais plus. Cette sensation de mal faire était insupportable. Plus j’essayais, moins j’y arrivais », témoigne Barbara.
Avant le burn out, le corps souffre. L’énergie diminue, le sommeil est moins bon, la digestion difficile, maux de dos, migraines ou autres signes se font sentir : à chacun ses zones sensibles. Ce qui est spécifique au burn out, c’est qu’il ne s’agit pas de périodes de difficulté, mais d’une évolution lente, progressive et longue, et souvent sur des années.
Au fil du temps, la tâche parait de plus en plus insurmontable. Devant un Himmalaya de dossiers, on manque de recul pour savoir par où commencer. Chaque demande, coup de fil ou mail semble plus pesant que le précédent. La mémoire sature et n’imprime plus. Le cerveau est en fonctionnement nuit et jour, Les idées se bousculent dans un brouhaha mental aussi intenable qu’incessant. Le temps presse, l’efficacité n’autorise pas les portes de sortie. L’impatience voire l’impulsivité prennent des dimensions débordantes.
Dire non au burn-out, préserver la confiance en soi grâce aux exercices de sophrologie
Dans cette valse qui n’en finit pas de s’accélérer, le doute s’installe sur les capacités, les compétences. La confiance en soi est mise en miette.
Ce qui reste intacte, en revanche, c’est la volonté de réussir, d’accomplir la mission, d’aller au bout… Car le burn out n’est pas une dépression. Il se peut que les idées noires viennent compliquer la situation, mais ça n’est pas caractéristique.
La sophrologie est un formidable moyen de prévenir le burn out ou si besoin, remonter la pente.
Les séances régulières, en individuel ou en collectif, permettent de faire le point et de prendre conscience des « signaux d’alarme » du corps. Ainsi, nous sommes plus à l’écoute et à même de respecter nos propres limites.
Pour en sortir, le chemin passe par différentes étapes : écouter son corps, en connaitre les limites. Mettre le bouillonnement mental en pause fait partie de l’apprentissage. Au fil du temps, il s’agit de prendre du recul, de réévaluer ses priorités, ses valeurs, parfois faire des choix, et de trouver le moyen de concilier toutes les facettes de nos vies, de façon durable.
En résumé, les principaux apports de la sophrologie face au burn-out :
- repérer les signaux d’alerte
- savoir quoi faire pour récupérer
- avec des techniques pour décompresser
- préserver / restaurer la confiance en soi
- s’accorder sur les priorités
- faire des choix sans culpabilité
- la sophrologie permet d’éviter mais aussi de sortir du burn-out.
Dans ces moments difficiles, se faire accompagner par un professionnel est particulièrement aidant et recommandé. En séance, vous pourrez être écouté et soutenu, pour ne pas rester isolé face à l’épreuve. Je sais ce qu’est un burn-out. Et la sophrologie m’a aidé à y faire face. Je me suis formée à sa prise en charge, avec Florence Parot, sophrologue et grande spécialiste de la question.
Prenez dès maintenant rendez-vous, soit en me contactant au 06 82 28 11 94, soit en prenant rendez-vous en ligne. Que ce soit en cabinet ou à distance, vous ne serez plus seul-e pour traverser cette période.